mercredi 27 février 2013

Le métal et les clichés



J’écoute du métal depuis 1988, date à laquelle j’ai découvert cette musique grâce à des potes métalleux : j’écoutais à l’époque Cure, et mes amis m’avaient dit, je me souviens : « Ouais c’est pas mal ton truc, mais ça manque de guitares !! ».
Ils m’ont alors fait écouter l’album qui restera pour moi le meilleur de tous les temps : « Master of Puppets » de Metallica. Et aussi « The Number of the Beast » d’Iron Maiden, du Ozzy Osbourne et du Venom. J’ai de suite plongé dans la marmite et n’en suis plus jamais ressortie.

Durant toutes ces années d’écoute, et de looks aussi (à mon époque on portait des jeans bien moulants – le slim c’est nous !! -  et des perfectos remplis de badges, patchs et autres dossards et le métal s’appelait « hard-rock »), j’ai pu entendre tout et n’importe quoi sur cette musique et ceux qui en sont friands.

Le métalleux n’est pas un marginal antisocial ou un voyou (pour l’anecdote d’ailleurs, un jour ma petite sœur et moi devions aller faire une course. J’enfile fièrement mon perf et elle me dit effrayée : « Tu sors comme ça ??? ». Elle n’a pas voulu m’accompagner et sur le chemin, une mamie a fait un détour incroyable pour ne pas avoir à me croiser. Elle a dû avoir peur que je lui pique son sac à mains… Réjouissant non ?. Surtout que ceux qui me connaissent bien savent que je suis tout sauf quelqu’un de violent).

Et les clichés sur le métal sont, et restent,  nombreux !

Le métal, c’est pas de la musique, c’est du bruit.

Pas de la musique ? C'est clair que les métalleux, quelque soit le genre ou sous genre, ne jouent pas avec de vrais instruments… ! Alors c’est sûr, les guitares peuvent être bruyantes, le son saturé,  le chant grunté ou hurlé, mais le métal ne se résume pas seulement à ça : c’est aussi des morceaux très mélodiques, avec des paroles recherchées, de belles voix claires. Et ça peut même être lyrique, voire symphonique.
Ne généralisons pas.


Seuls les ados en crise écoutent du métal.

J’ai 41 ans et j’écoute du métal depuis presque 25 ans maintenant.
Lorsque je vais à un concert, je peux souvent voir avec plaisir que plusieurs générations sont représentées. C’est clair qu’il y a beaucoup de jeunes qui écoutent du métal et que certains d’entre eux passeront à autre chose, mais il y en a également beaucoup qui lui resteront fidèles (et qui ont même une culture musicale, et une curiosité,  incroyables pour leur âge !). Et certains groupes cultes sont toujours là : Iron Maiden, AC.DC, Aerosmith, etc… Le métal n’est pas une effet de mode  ou de rébellion boutonneuse…


Le métalleux est sataniste.


Non le métalleux n’égorge pas de moutons à la gloire de Satan.
Il est clair que le métal attire un certain nombre de provocateurs mais souvent, il s’agit là de folklore (mis à part quelques groupes à tendance vraiment satanique – mais je ne connais pas assez le sujet pour en parler et ils ne sont qu’une petite minorité). Dans tous les styles musicaux on trouvera des individus qui veulent choquer, ça n’est pas nouveau.
Et le métal n’est pas anti-religieux contrairement à ce qui est souvent dit. On trouve même quelques groupes de métal chrétien.


Le métalleux est alcoolique.


C’est sûr qu’il aime boire de la bière (mais il n’y a pas que la bière dans la vie, il y a aussi le Jägermeister ;-)). Mais ça s’arrête là. Le métalleux a simplement le sens de la fête !  Il ne va pas non plus se souler tout le temps, notamment lors d'un concert, sous peine de ne pas en profiter.
Il y a bien sûr des exceptions, mais comme partout non ?


Le métalleux est macho.


Le métal a une image très masculine, c’est vrai. Mais on y trouve de plus en plus de femmes Alors certes le métal garde son image très virile, mais il n’est pas réservé qu’aux seuls mâles et les groupes féminins sont bien plus nombreux aujourd’hui qu’il y a quelques années. Ainsi que le public d’ailleurs !


Le métalleux est affreux, sale et méchant.


Il a les cheveux longs et gras, pue la transpiration et cherche toujours la bagarre. Contrairement à ce qui s’est dit suite à quelques tragiques faits divers, le métal  n’engendre pas d’actes violents ou criminels. La musique peut paraitre violente, certaines paroles le sont, mais ça n’est qu’un simple exutoire. Je n’ai jamais par exemple assisté à une bagarre lors d’un concert.

Même les célèbres pogos ne servent qu’à se défouler. Et  le métalleux est souvent quelqu’un de très gentil ; la solidarité tient d’ailleurs une grande place dans sa vie (cf. mon article intitulé : « Amitié solidairement métalleuse »). Quant à cette image si laide, qui va me dire que Nikki Sixx ou Jon Bon Jovi sont moches et puants ?


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jeudi 21 février 2013

Passionnément Doudous !


Mon amie Cécile m'a très bien représentée !
Vous connaissez peut être des adultes qui ont un Doudou ? Je veux parler des ces peluches (ou objets) qui nous rassurent enfants, que l’on trimballe partout (ou presque) et qu’il ne faut surtout pas perdre ! 

D’après ce que j’ai lu, nous sommes nombreux à avoir gardé le nôtre. Pourtant, nous ne sommes ni des « adulescents », ni complètement dingues…
Simplement, notre doudou est ce lien qui nous ramène à notre enfance, à la sécurité de cette période apaisante. Il ne s’agit pas là de régresser, mais plutôt d’un vrai besoin affectif : Nous ne sommes plus des enfants, mais l’enfant que nous étions survit en nous grâce à nos doudous.

Et avoir un doudou n’empêche pas d’être mature, contrairement ce que certains pensent…
La pédopsychiatre Sophie Marinopoulos, explique "Avoir un doudou à l'âge adulte est fréquent. Certaines personnes l'emmènent lorsqu'elles se marient et le transmettent à leurs enfants. C'est un objet sacré, témoin de la vie affective et de l'enfance. Un objet habité des premiers émois. On constate un retour à l'objet sacré dans cette fragilisation générale et collective de l'humain. Le doudou devient une attache et est porteur d'une vie affective pour des adultes de plus en plus insécurisés."

J’ai gardé mon âme d’enfant (et elle est grande !!), même si mon histoire diffère légèrement de celle de l’adulte qui conserve son doudou d’enfance puisque je n’ai pas gardé le mien, je ne m’en souviens même plus, c’est dire !

Mais il y a quelques années (j’ai 41 ans), à la mort de ma tante, j’ai éprouvé le besoin de dormir avec un doudou… Nous n’étions pourtant pas proches.  Ce besoin s’est consolidé ensuite  à la mort de l’un de mes chats …
Mon doudou, que j’ai appelé JS (des initiales des prénoms de ma tante et de mon chat), ne me servait alors que pour dormir : je le tenais dans ma main, comme le font les enfants. 

Et comme les enfants, je l’emmenais souvent avec moi, particulièrement en vacances.
C’est lors de nos vacances à Sète que mon mari et moi avons commencé à faire parler JS. Non nous ne sommes pas fous ! D’autant plus que mon mari est très terre à terre !
En fait ça s’est passé tout bêtement : mon mari avait posé mon doudou par terre et il tenait seul, debout entre les interstices du carrelage. C’est là que je lui ai fait prononcer sa première phrase : « Hey t’es qui toi ? »  et que l’histoire de nos Doudous a débuté !

Car ensuite, nous lui avons donné un copain du nom de Blund.
Pour les fans d’Ikea, peut être que ce nom n’est pas inconnu : il s’agit en effet d’un produit vendu par la marque il y a quelques années : de jolis oursons blancs (puis caramels) vendus 3 euros à l’époque, et que l’on trouve aujourd’hui  sur le net à des prix parfois très élevés car ils ne sont plus en vente.
Et la série a continué : nous avons acheté quelques Blunds encore, puis à leur disparition, nous les avons trouvés en brocante ou sur le Net.
Aujourd’hui, nous avons en tout une quarantaine de peluches… et elles ont toutes leur petite vie ^^ C’est une véritable petit famille. Nous en trimballons partout avec nous (aux concerts, au resto, chez les amis), et ils  beaucoup de fans !
Parce que le fait de leur « donner vie » a beaucoup plu, et bien que nous passions pour des hurluberlus auprès de certaines personnes, la plupart de nos proches (et mêmes d’illustres inconnus) aiment nos Doudous et leurs histoires. Ils ont même leur propre groupe de métal : les DDB (Dirty Doudou’s Band).


JS (à droite) et Kissibou(mes Doudous sont tous métalleux)


Pour l’anecdote, un jour j’ai fait une recherche dans Google avec le mot « Blund ». Et bien figurez-vous que j’ai trouvé un nombre incroyable de fans de cette peluche, et qui comme nous, les font vivre, les habillent, les emmènent en voyage etc… Et ceci dans le monde entier !!

J’avoue m’y être beaucoup attachée à ma petite troupe. Je ne peux pas concevoir d’en perdre un seul… Comme les enfants, ils me rassurent, me réconfortent dans les mauvais moments. Je les aime, j'en ai besoin. Et même si encore aujourd’hui certains ne comprennent pas cet attachement, peu importe : mes Doudous m’apportent quelque chose qui me fait du bien. Le regard des gens, je m’en balance !!

mercredi 20 février 2013

Sister


Sister est un groupe de sleaze (mélange de glam et de punk) suédois formé en 2006.

Après un EP sorti en 2009 (et une période purement glam), le groupe sort son premier album en 2011, "Hated".
Un album musclé, rageur, court mais percutant !! Et ses membres sont aussi énergiques sur scène qu'en studio !


Actuellement en tournée (avec Crashdiet notamment), ils préparent doucement leur second album. Inutile de vous dire que j'ai hâte qu'il sorte.

Leur site Internet : http://www.sisteronline.net/

Le clip officiel de l'excellente chanson "Bullshit and backstabbing":

jeudi 14 février 2013

J'ai testé : le tatouage

Le tatouage, longtemps resté dans l'ombre, est (presque) entré dans les mœurs. Je dis presque parce qu'il y a encore pas mal de personnes qui associent les tatoués à la marginalité, la violence, la prison et autres joyeux clichés. 
Il tendrait même à être à la mode (malheureusement : j'aimerai connaitre l'avis, dans quelques années, de toutes ces filles qui se font tatouer un tribal dans le dos pour être belles cet été... bon, ça c'est un jugement perso et c'est pas bien hein ? ^^).

Me concernant, j'ai toujours été fascinée par les gens "différents", ceux qui sortent de l'ordinaire par leur look, leur attitude, leur métier. Le tattoo en fait partie. Et je ne sais pas pourquoi j'ai mis si longtemps à m'y mettre... mais un jour j'ai eu un déclic et je suis passée à l'acte. J'avais 34 ans. Depuis, je suis devenue complètement accro !


Alors un tattoo, comment ça marche ?

Evidemment, il faut bien réfléchir avant de se lancer, le tatouage n'est pas un accessoire de beauté ou un simple bijou : se faire encrer la peau, c'est définitif (même si on a toujours  la possibilité d'utiliser le laser pour le faire disparaitre, ce qui est coûteux et long...). Il faut être sûr de soi, du motif choisi, de l'endroit du corps que l'on veut embellir (le tattoo peut être voyant et gênant pour son travail par ex.).
Il faut également prendre en compte le prix du tatouage ainsi que la douleur (même si celle-ci est très variable selon le seuil de tolérance de chaque personne et de chaque partie du corps). Et comme le dit Laura Satana (tatoueuse à Paris) : évitez les crèmes anesthésiantes qui ne servent pas à grand chose : "Un tatouage, ça se mérite. Il perd de sa valeur si l'on a pas souffert pour l'avoir".

Une fois décidé, il faut choisir le tatoueur qui saura répondre à ses envies. Car il s'agit là d'art et nombreux sont ceux qui excellent dans cette discipline !
Il faut savoir que les tatoueurs sont souvent spécialisés dans un genre particulier (old school, réaliste, portrait, biomécanique etc...) et il vaut mieux aller en voir plusieurs afin de discuter avec eux de votre projet (le motif ne doit pas être trop petit car un tattoo minuscule vieillit mal en général.).
Consultez les books et galeries internet de chacun afin de vous faire une idée de leur travail et surtout discutez avec eux de votre projet. Vous pouvez également faire marcher le bouche-à-oreille et voir si vous connaissez des personnes déjà tatouées.
Faites particulièrement attention à l'hygiène, qui est primordiale ! Le matériel utilisé doit être stérilisé et à usage unique. Les tables de tatouage doivent être nettoyées et enveloppées de cellophane (ou recouvertes comme chez le médecin) et le tatoueur doit porter des gants quand il travaille.
Souvent, c'est ce dernier qui vous fera le dessin préparatoire selon vos idées, mais vous pouvez également apporter un ou des motifs qui vous plaisent, voire dessiner vous-même votre tattoo si vous êtes doué. Important : refaire le même tatouage déjà porté par quelqu'un, ou vu sur Internet ou dans un magazine, est souvent refusé et avec raison : un tatouage c'est très personnel, on ne fait pas de la copie, le tattoo a souvent une histoire, il est chargé de symbolisme et tout cela est perçu différemment par les personnes qui le portent.

Lorsque le (ou les, tout dépend de votre projet) rendez-vous est pris, il n'y a pas de préparation spéciale à faire. Il suffit d'être en forme et bien sûr de n'avoir pas bu d'alcool (il fluidifie le sang). La douleur ressemble à une brûlure (ou, pour les filles, à celle qu'on ressent quand on s'épile avec un épilateur électrique) ; mais comme dit plus haut, c'est relatif et dépend de chaque personne.

Une fois tatoué, il faut veiller à avoir une hygiène très stricte et utiliser de la crème cicatrisante (type Bépanthène par ex.) afin que votre tattoo cicatrise parfaitement bien. Pas de piscine, de bains de mer ou autre durant quelques temps. Mais votre tatoueur veillera à vous expliquer tout ça.

Et ensuite, profitez-en !
En général, on regarde son tatouage durant quelques temps, parce qu'il est beau, qu'on en est fier, on l'admire.
Après on l'oublie ! Il fait partie intégrante de nous.

Mais c'est bien de l'entretenir régulièrement en l'hydratant et surtout, en évitant le plus possible le soleil, ennemi des tatouages (surtout pour les couleurs...). Donc crème solaire avec indice élevé oblige. Pas de soleil du tout c'est encore mieux ^^

Vous aurez sans doute droit à des réactions diverses et variées, de la part de personnes qui aimeront, d'autres qui détesteront, d'autres qui ne comprennent pas qu'on puisse "s'enlaidir" en se faisant tatouer.
Droit également à des questions ridicules  "Oh ! C'est un vrai ??" ; "Mais tu vas faire quoi quand tu seras vieux ?" etc...
Peu importe. Comme le dit Laura Satana : "Le tatouage, c'est un miroir de l'âme".

J'espère n'avoir rien oublié d'important. Si vous avez des questions (je ne suis pas spécialiste mais je peux essayer de vous répondre), n'hésitez pas à me les poser en commentaire.
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mercredi 13 février 2013

Poulet au Riesling

Voici une recette bien de chez nous ! Un vrai régal.

 

 
 
Ingrédients (pour 6 personnes) :
 
1,5 kg de poulet en morceaux
25 cl de Riesling
250 g de champignons de Paris
20 cl de bouillon de volaille préparé avec un cube
1 jaune d'oeuf
15 cl de crème fraîche épaisse
4 échalottes
1 gousse d'ail
1 bouquet de persil
80 g de beurre
2 cuillères à soupe d'huile
Quelques pincées de noix de muscade râpée
Sel, poivre
 
Lavez les champignons puis coupez-les en lamelles.
Pelez et émincez les échalotes ; hachez le persil ; peler et écraser la gousse d'ail.
 
Faites chauffer l'huile et 40 g de beurre dans une cocotte.
Y faire revenir les morceaux de poulet jusqu'à ce qu'ils soient bien dorés. Réservez-les pour plus tard.
 
Ajoutez le reste du beurre dans la cocotte. Y faire sauter les champignons. Quand ils commencent à dorer, ajoutez les échalotes, le persil et l'ail. Laisser blondir quelques minute à feu vif.
 
Salez et poivrer les morceaux de poulet puis les remettre dans la cocotte. Mélangez.
Versez le Riesling sur le poulet. Laisser frémir 5 minutes puis ajouter le bouillon de volaille.
Assaisonner de sel, poivre et noix de muscade.
Couvrir la cocotte et laisser mijoter 1 h 30 à feu doux en arrosant de temps en temps les morceaux de poulet.
 
A la fin de la cuisson, fouettez le jaune d'oeuf et la crème fraîche dans un bol.
Versez cette liaison dans la cocotte en mélangeant délicatement.
Rectifiez l'assaisonnement.
Retirez du feu dès que ça frissonne.
 

Servir sans attendre, accompagné de spätzles ou de nouilles.

Le Riesling s'accordera bien entendu parfaitement avec ce plat.

Cette recette peut être préparée la veille : il suffit simplement de verser la liaison oeuf/crème juste avant de servir, quand vous aurez réchauffé votre poulet.

lundi 11 février 2013

Amitié solidairement métalleuse

Dans le dictionnaire, on trouve : 

Amitié : sentiment d'affection entre deux personnes ; attachement, sympathie qu'une personne témoigne à une autre. 

Solidarité : sentiment d'un devoir moral envers les autres membres d'un groupe, fondé sur l'identité de situation, d'intérêts. 

 


Je fais partie d'une famille de cœur, la "metal family" au sein de laquelle ces deux mots prennent toute leur importance !

Nous venons de passer ensemble un week-end de folie, de pur bonheur, de franche rigolade ! Et ce n'est ni le premier, ni le dernier.

Mais je ne vais pas vous le raconter, ce serait bien trop long...

J'avais juste envie de rendre hommage à chacun des membres de cette famille si incroyable !!
Nous avons en commun une chose, et de taille : notre amour pour le métal !
Et vous savez comme moi que les clichés sur le genre sont légions (of the damned ah ah ah ) !!
Et tous faux.

Chez nous point de violence, de jalousie ou je ne sais quel vil sentiment.
L'amitié, la vraie, solide, et la solidarité font partie intégrante de notre mode de vie.

La musique nous apporte un sentiment très fort de communion autour de valeurs simples, une franche camaraderie qui fait un bien fou dans les bons moments comme dans les mauvais.

Je ne sais pas si on retrouve cela ailleurs mais c'est vraiment quelque chose de terriblement précieux ! Côtoyer des personnes si généreuses, qui ont le cœur, leur cœur, sur la main, c'est juste magnifique. 

D'autant plus que je trouve que l'humain devient de plus en plus égocentrique, hypocrite et imbu de lui-même... 

Alors ça fait chaud au cœur de partager ces beaux moments de pure amitié avec des personnes pour qui on compte vraiment et qui savent ce qu'ami veut dire. 

Bien sûr, on fait la fête, on mange trop et on boit trop, mais toujours dans la bonne humeur et le respect de chacun. 

Je ne vais pas tous vous citer, chacun d'entre vous se reconnaitra. 
Juste vous dire que je vous aime. 
Fort. 
Très fort. 

PS : ceci dit, je vous encourage à découvrir le groupe qui fait que tout ceci est possible : Lonewolf. 

Leur page sur Facebook

vendredi 8 février 2013

J'ai testé : la mammographie

Certains pourraient penser que la mammographie est un examen plutôt intime et qu'en parler publiquement est gênant. Mais je trouve qu'il est justement très utile   que chacune d'entre nous sache comment se passe cet examen, car moi je l'appréhendais beaucoup...


Ayant atteint la quarantaine, ma gynécologue m'a prescrit ma première mammographie de contrôle.
Inutile de vous dire que je redoutais ce moment car quand on voit les images de l'examen... ça ne donne franchement pas envie d'y aller ^^

Mais c'est un examen important car il permet de détecter d'éventuelles anomalies qui peuvent parfois, hélas, se révéler cancérigènes.

L'examen est pratiqué par un radiologue qui utilise un appareil appelé "mammographe". Vous êtes torse nu. Trois clichés de chaque sein sont effectués sous trois angles différents.
Chaque sein est comprimé entre deux plaques et exposé à une faible dose de rayons X. Les positions conseillées par le radiologue sont très importantes car elles permettent non seulement à la patiente que l'examen ne soit pas douloureux, mais surtout de voir le plus de tissu tout en exposant les seins le moins possible aux rayons X.

L'examen n'est donc pas douloureux, mais plutôt désagréable. Et ce qui est surprenant, c'est de voir ses seins aplatis comme des crêpes dans la machine ^^

Ma mammographie a été complétée par une échographie afin de ne rien laisser passer.
Et pour moi tout va bien, rien de suspect n'a été détecté.
La mammographie en elle-même a duré 15 minutes, et l'échographie une dizaine.

Mesdames, n'ayez donc pas peur, comme moi, de prendre rendez-vous quand votre médecin vous prescrira cet examen : ça n'est pas le plus sympa à passer, mais ça n'en est pas non plus le pire.







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